Tout d'abord le congrès c'était 275 delegués représentant 88 départements francais
Les idees fortes :
- dénonciation de la dictature des déficits et le consensus UMP/PS
- environ plus de 40 000 signatures contre la réforme constitutionnelle à l'heure du congrès
- 150 milliard: c'est le montant des éxonerations fiscales sur 2 ans
- Au USA, 1/7 de la population vie de l'aide alimentaire alors que c'est le pays le plus riche du monde
50 millions de pauvres
10 millions de famille expulsées de leur logement
dette multipliée par 3
dépense d'armement multipliée par 3
- Au Portugal, BCE FMI Banque mondiale (troika) imposent :
- baisse des salaires des fonctionnaires
- baisse des services publics
- En Espagne : toujours plus de rigueur
- En Grèce : la privatisation pourraient être confié directement à l'UE
- En France : la bataille des retraites a montré que les travailleurs ne sont pas défaits
- Le programme du gouvernement francais:
80 milliard d'euros d'économie à faire en quelques années
suite réforme retraite
réforme de l'enseignement superieur
réduction cout fonctionnement administratif : etat et collectivités
réduction des niches "sociales"
développer la mobilité des "apprenants" et des "enseignants"
- La ligne du POI:
- contre le traité de maastricht
- pour l'interdiction des licenciements
- pour la renationalisation immédiate de : EDF, GDF, Secteur pétrolier
- Election d'une assemblée nationale constituante
- Le poi en 2010 c'était 7453 cartes d'adhérents
- "aucune politique public ne peut etre conduite sans l'aval des machés financiers" c'est le discours actuel du consensus UMP/PS
- Soutien du syndicat américain AFL CIO à l'action du POI
- G.Schivardi se déclare pour une assemblée constituante
100 milliards d'economie seront demandé aux collectivités territoriales
Avec la réforme territoriale il ne restera plus aux maires comme compétences que
l'etat civil et les espaces verts
- Rencontre avec Christian Sourbes maire de La Grange dans les landes, 3 ieme force politique du canton a l'issu des cantonales: 10% des voix et qui incarne la lutte contre la reforme territoriale avec des maires de la région qui l'ont promu "défenseur" des communes.
- Le dernier mot pour D. Gluckstein : "comme disait Danton, de l'audace, toujours de l'audace, encore de l'audace!"
Réunion ouverte POI
Réunion du CNRR local d'Antibes/Valbonne
Régulièrement à 12h15 à Garbejaire Valbonne
Réunion du POI 06 sur la situation politique et sociale
Prochaines réunions : Nous contacter poiam@orange.fr
Prochaines réunions : Nous contacter poiam@orange.fr
samedi 9 juillet 2011
Dernière lettre de G. Schivardi sur la défense des communes
Cher(e) collègue,
Il y a six mois, je vous ai adressé une lettre nous proposant de nous regrouper pour :
- le refus de l’intercommunalité forcée et le retour à la libre administration des communes avec les
moyens financiers de l’exercer ;
- le rétablissement des subventions départementales aux communes ;
- aucune augmentation d’impôts, aucune suppression de services ;
- l’abrogation de la réforme territoriale ;
- la défense de la République, une, indivisible et laïque.
Nombre d’entre vous ont signé ces propositions, manifestant l’accord qui existe entre des maires de
toutes tendances politiques pour défendre nos communes, car nous n’avons pas été élus pour accompagner
leur disparition.
Nous sommes à présent entrés dans une période décisive où se joue l’existence même de nos communes.
En effet, dans tous les départements, les préfets ont publié les cartes intercommunales qu’ils ont reçu
consigne de mettre en place, en application de la réforme territoriale.
C’est une catastrophe !
Des collègues de Moselle me signalent que le préfet a annoncé « la suppression de 130 syndicats sur
278 et, à terme, la suppression de 38 autres syndicats, réduisant à 101 le nombre de syndicats intercommunaux
existants en Moselle ! (procès verbal de la CDCI en date du 12 mai) ».
C’est clair : le gouvernement veut faire payer par les communes la réduction des déficits publics à
laquelle il s’est engagé auprès des institutions européennes.
Pour ce faire, les préfets n’hésitent pas à rayer d’un trait de plume les syndicats que nous avons mis des
années à mettre en place pour gérer le scolaire et le périscolaire, la voirie, les ordures ménagères, l’eau et
bien d’autres services à la population, alors que nous n’avons aucune étude sur le coût ou la pérennité
des services de substitution ni non plus sur le sort des employés territoriaux dont l’emploi risque de disparaître
sur l’autel de la réduction des déficits publics.
Des collègues d’Indre-et-Loire, me signalent que la communauté de communes du Vouvrillon qui
fonctionnait pratiquement en Sivom est dépecée, les communes disparaissant dans la communauté
d’agglo de Tours.
Des collègues des communes menacées d’être incluses contre leur volonté dans le Grand Lyon m’ont
transmis les déclarations du maire PS, Gérard Collomb qui revendique la mise en place d’une métropole
se substituant au département du Rhône.
Les commissions départementales de coopération intercommunale sur lesquelles s’appuient les
préfets n’ont été élues par personne, en tout cas pas par nos mandants ! Une seule voix de majorité est
nécessaire pour approuver la carte du préfet alors qu’il faut plus de 60 % des voix pour la rejeter. Et dans
ce cas, la loi prévoit que le préfet a le pouvoir d’imposer ses décisions !
Trois mois décisifs
pour sauver nos communes
de leur disparition !
L E T T R E A U X M A I R E S
Ma collègue de Massillargues-Attuech (Gard), estimant qu’elle n’avait pas été élue pour entraîner sa
commune dans la communauté d’agglo d’Alès dans laquelle le préfet veut inclure sa commune, a voulu
consulter la population par voix référendaire. Interdiction du préfet qui assigne la collègue en tribunal
administratif sous prétexte qu’il fallait une autorisation préalable du préfet trois mois à l’avance !
C’est clair : ils sont pressés ; ils veulent passer en force ;
le temps nous est compté.
Les communes qui ne délibèreront pas dans les trois mois sur la carte du préfet seront réputées, selon
la loi, comme étant favorables !
Nombreux sont les conseils municipaux qui ont délibéré pour la défense de leur commune, refusant
l’intégration dans les agglos. C’est le premier acte indispensable et urgent à prendre.
Je vous joins à ce sujet la délibération du conseil municipal de Mailhac dont la sous-préfecture a
consigné la réception.
Dans plusieurs communes, les collègues ont constitué avec la population des comités de défense de
leur commune pour faire respecter ces délibérations.
Ils ont raison : le temps presse ! Trois mois passent vite, surtout avec la période des congés.
Nous devons les faire reculer ! C’est pourquoi je vous propose de nous grouper pour la défense de nos
communes !
Avec mes sentiments républicains les meilleurs.
Unissons-nous, organisons-nous pour :
• le refus de l’intercommunalité forcée et le retour à la libre administration
des communes avec les moyens financiers de l’exercer ;
• le rétablissement des subventions départementales aux communes ;
• aucune augmentation d’impôts, aucune suppression de services ;
• l’abrogation de la réforme territoriale ;
• la défense de la République, une, indivisible et laïque.
Je partage les objectifs ci-dessus :
Nom : Prénom :
Fonction élective :
Commune :
Code postal :
Signature :
À retourner à : Mairie de Mailhac - 13 rue des Remparts - 11120 Mailhac
(Tél : 04 68 46 13 13 - mail : mairie-mailhac@orange.fr - Fax : 04 68 46 34 70)
Il y a six mois, je vous ai adressé une lettre nous proposant de nous regrouper pour :
- le refus de l’intercommunalité forcée et le retour à la libre administration des communes avec les
moyens financiers de l’exercer ;
- le rétablissement des subventions départementales aux communes ;
- aucune augmentation d’impôts, aucune suppression de services ;
- l’abrogation de la réforme territoriale ;
- la défense de la République, une, indivisible et laïque.
Nombre d’entre vous ont signé ces propositions, manifestant l’accord qui existe entre des maires de
toutes tendances politiques pour défendre nos communes, car nous n’avons pas été élus pour accompagner
leur disparition.
Nous sommes à présent entrés dans une période décisive où se joue l’existence même de nos communes.
En effet, dans tous les départements, les préfets ont publié les cartes intercommunales qu’ils ont reçu
consigne de mettre en place, en application de la réforme territoriale.
C’est une catastrophe !
Des collègues de Moselle me signalent que le préfet a annoncé « la suppression de 130 syndicats sur
278 et, à terme, la suppression de 38 autres syndicats, réduisant à 101 le nombre de syndicats intercommunaux
existants en Moselle ! (procès verbal de la CDCI en date du 12 mai) ».
C’est clair : le gouvernement veut faire payer par les communes la réduction des déficits publics à
laquelle il s’est engagé auprès des institutions européennes.
Pour ce faire, les préfets n’hésitent pas à rayer d’un trait de plume les syndicats que nous avons mis des
années à mettre en place pour gérer le scolaire et le périscolaire, la voirie, les ordures ménagères, l’eau et
bien d’autres services à la population, alors que nous n’avons aucune étude sur le coût ou la pérennité
des services de substitution ni non plus sur le sort des employés territoriaux dont l’emploi risque de disparaître
sur l’autel de la réduction des déficits publics.
Des collègues d’Indre-et-Loire, me signalent que la communauté de communes du Vouvrillon qui
fonctionnait pratiquement en Sivom est dépecée, les communes disparaissant dans la communauté
d’agglo de Tours.
Des collègues des communes menacées d’être incluses contre leur volonté dans le Grand Lyon m’ont
transmis les déclarations du maire PS, Gérard Collomb qui revendique la mise en place d’une métropole
se substituant au département du Rhône.
Les commissions départementales de coopération intercommunale sur lesquelles s’appuient les
préfets n’ont été élues par personne, en tout cas pas par nos mandants ! Une seule voix de majorité est
nécessaire pour approuver la carte du préfet alors qu’il faut plus de 60 % des voix pour la rejeter. Et dans
ce cas, la loi prévoit que le préfet a le pouvoir d’imposer ses décisions !
Trois mois décisifs
pour sauver nos communes
de leur disparition !
L E T T R E A U X M A I R E S
Ma collègue de Massillargues-Attuech (Gard), estimant qu’elle n’avait pas été élue pour entraîner sa
commune dans la communauté d’agglo d’Alès dans laquelle le préfet veut inclure sa commune, a voulu
consulter la population par voix référendaire. Interdiction du préfet qui assigne la collègue en tribunal
administratif sous prétexte qu’il fallait une autorisation préalable du préfet trois mois à l’avance !
C’est clair : ils sont pressés ; ils veulent passer en force ;
le temps nous est compté.
Les communes qui ne délibèreront pas dans les trois mois sur la carte du préfet seront réputées, selon
la loi, comme étant favorables !
Nombreux sont les conseils municipaux qui ont délibéré pour la défense de leur commune, refusant
l’intégration dans les agglos. C’est le premier acte indispensable et urgent à prendre.
Je vous joins à ce sujet la délibération du conseil municipal de Mailhac dont la sous-préfecture a
consigné la réception.
Dans plusieurs communes, les collègues ont constitué avec la population des comités de défense de
leur commune pour faire respecter ces délibérations.
Ils ont raison : le temps presse ! Trois mois passent vite, surtout avec la période des congés.
Nous devons les faire reculer ! C’est pourquoi je vous propose de nous grouper pour la défense de nos
communes !
Avec mes sentiments républicains les meilleurs.
Unissons-nous, organisons-nous pour :
• le refus de l’intercommunalité forcée et le retour à la libre administration
des communes avec les moyens financiers de l’exercer ;
• le rétablissement des subventions départementales aux communes ;
• aucune augmentation d’impôts, aucune suppression de services ;
• l’abrogation de la réforme territoriale ;
• la défense de la République, une, indivisible et laïque.
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