Réunion ouverte POI


Réunion du CNRR local d'Antibes/Valbonne
Régulièrement à 12h15 à Garbejaire Valbonne
Réunion du POI 06 sur la situation politique et sociale
Prochaines réunions : Nous contacter poiam@orange.fr

mercredi 17 octobre 2018

Perquisitions chez Mélenchon et au siège de La France insoumise et maintenant poursuites judiciaires

Mardi matin 16 octobre, des perquisitions ont été menées sur réquisition du
parquet de Paris aux sièges de La France insoumise, du Parti de gauche et
aux domiciles de Jean-Luc Mélenchon et de plusieurs autres responsables.
Jean-Luc Mélenchon a dénoncé « une énorme opération de police politique ». Dans
une vidéo, il a filmé la scène de la perquisition à son domicile en déclarant : « Nous
sommes perquisitionnés chez tout le monde. La secrétaire générale du groupe à l’Assemblée,
mes anciens assistants qui ont vu débouler aussi les flics à 7 heures du
matin, on leur prend leurs téléphones, on leur prend leurs ordinateurs. Au siège du
Parti de gauche dont je suis membre, au siège du mouvement La France insoumise. »
Et il a ajouté dans cette vidéo : « Voilà le début du nouveau ministre de l’Intérieur et
du ministre de la Justice, voilà ce qu’ils sont en train de faire dans tout le pays, pour
intimider et faire peur. »
Devant le siège de La France insoumise où il avait appelé ses militants à se rassembler,
il a lancé à l’adresse de Macron et de la ministre de la Justice : « Ce que vous
êtes en train de faire est une honte », ajoutant : « C’est un coup de force contre nous,
parce que c’est destiné à nous faire peur et à m’intimider. Pour ce qui me concerne, c’est
un échec total. C’est eux qui vont avoir peur du retour de bâton. » À ses côtés, le député
Alexis Corbière a dénoncé « une agression politique intolérable » en disant : « S’il y a
des comptes de campagne qui doivent être observés, ce sont ceux de Macron. »

Le Parti ouvrier indépendant était représenté à ce rassemblement en solidarité.
Le POI réaffirme qu’il ne saurait accepter de telles méthodes et s’indigne des poursuites
judiciaires contre Jean-Luc Mélenchon et les militants de La France Insoumise
annoncées le 17 octobre 2018.

POI PARTI OUVRIER
I N D É P E N DA N T
Pour le socialisme, la République et la démocratie
Membre de l’Entente internationale des travailleurs et des peuples
87, rue du Faubourg-Saint-
Denis,75010 Paris
Tél : 01 48 01 88 20
Mercredi 17 octobre 2018
E-mail :poi@fr.oleane.com
www.partiouvrierindependant-poi.fr

POUR LA DÉFENSE DES CONQUÊTES DE 1936 ET 1945


10 NOVEMBRE 2018 – PARIS
DE 11 H À 16 H 30

GRAND RASSEMBLEMENT
à l’appel du Comité national
de résistance
et de reconquête (CNRR)

Le 23 juin, 250 délégués
des comités de résistance
et de reconquête,
militants politiques, élus,
syndicalistes
d’origines diverses,
ont décidé d’organiser
un grand rassemblement
à Paris le 10 novembre 2018,
de 11 heures à 16 heures 30,
pour la défense
des acquis de 1936 et 1945.
POUR LA DÉFENSE DES CONQUÊTES
DE 1936 ET 1945

Espace Charenton, 327, rue de Charenton, 75012 Paris.
l Métro ligne 8, station : Porte de Charenton l Tram T3, station : Porte de Charenton
l Bus, ligne 87, arrêt : Charenton jardinier

Pour tout contact :
cnrr2017@gmail.com
cnrr2018.sitew.fr

Depuis cet été, Macron et son gouvernement sont
secoués par les affaires, affaiblis par les démissions
successives. C’est ce gouvernement en crise, en
chute libre, qui prétend « maintenir le cap » : au
compte du capital financier, tous les droits collectifs
devraient être liquidés. Édouard Philippe vient ainsi de présenter
son « programme de travail » contre les aides
sociales, l’assurance chômage, le système de santé, le statut
de la Fonction publique... et pour couronner le tout, contre
tous les régimes de retraites.
Cette politique n’épargne rien. Les retraités viennent de voir
leurs pensions gelées. 200 000 jeunes, qui ont pourtant obtenu
le baccalauréat, ont été privés par les réformes de Macron de
leur droit à s’inscrire à l’université dans la formation de leur
choix. Les communes sont étranglées.
Face à cette situation, les forces pour résister existent. L’écrasante
majorité des militants ouvriers entend ne rien lâcher.
Le rejet est massif chez les travailleurs, dans la jeunesse.
Dans les comités de résistance et de reconquête, chez des
milliers de militants ouvriers, syndicalistes, militants politiques,
élus, des discussions intenses ont lieu. À la lumière de ce qui
s’est passé sur les ordonnances de la loi travail, sur la réforme
ferroviaire contre laquelle les cheminots se sont dressés, ils
s’interrogent, ils réfléchissent aux moyens à mettre en oeuvre
pour résister, pour bloquer l’offensive.
Des questions urgentes
sont posées, qui sont à discuter :
Macron a décidé de s’en prendre aux retraites. Ce
qu’il veut faire c’est bien plus que poursuivre les contreréformes
des Balladur, Juppé, Fillon, Ayrault qui l’ont
précédé. Il veut en finir une fois pour toutes. Avec son
projet de régime universel par points, les 43 régimes
de retraites existants disparaîtraient. Fillon (qui s’y
connaît) a tout résumé : « avec la retraite par points,
vous pouvez baisser le niveau, le montant des points,
donc des pensions, tous les ans ». Face à la volonté de
Macron de tout liquider, faut-il faire des « propositions
» ? Peut-on penser sérieusement que des propositions,
aussi justes soient-elles, puissent être satisfaites
sans qu’au préalable les contre-réformes de Macron
ne soient bloquées ? En particulier, est-ce qu’on peut
faire barrage au projet sur les retraites sans dire clairement
: non au régime universel par points, maintien
de tous les régimes existants ?

Dans un comité, un militant : « Depuis la démission
de Hulot, les appels pour sauver la planète se
multiplient. L’environnement, c’est un problème
majeur : les multinationales sont en train de tout saccager,
et on ne peut pas laisser faire. Mais il y a des
choses qui posent question. Récemment, un appel a
été lancé pour un “investissement vert” qui serait “isolé
du déficit budgétaire”. Donc, si je comprends bien, il
faudrait appliquer aux autres secteurs les plans de
réduction des déficits qui sont en train de dévaster la
santé, l’école et tous les services publics ? Est-ce que
cela ne revient pas à couvrir tout simplement Macron
et sa politique ? »

Dans un autre comité : « Le sort réservé aux
“migrants”, aux réfugiés, c’est une honte, une barbarie
sans nom. Et vous avez vu Macron, Merkel et compagnie
? Ils versent des larmes de crocodile. Ils brandissent
le danger des “nationalismes”, des
“populismes”. J’ai vraiment le sentiment qu’ils cherchent
à manipuler. Ils sont tous engagés dans les
guerres, dans les plans d’ajustement qui ravagent des
pays entiers et qui contraignent des centaines milliers
à prendre la route de l’exode. Et quand il faut qu’ils
s’entendent avec Orban ou Salvini pour taper sur les
migrants, là, ils n’ont aucun problème ».

Un autre : « En plus, avec les élections européennes
qui approchent, ils se posent en remparts des
“valeurs européennes”. Ces élections seront-elles marquées
par une abstention massive comme c’est généralement
le cas ? Est-ce qu’il en sera autrement ? A
cette étape, je n’en sais rien. Mais l’Union européenne,
je sais ce que c’est : c’est l’Europe du capital. Pour servir
et renflouer les marchés financiers qui sont les
vrais patrons, les gouvernements et l’Union européenne
ont imposé des traitements de choc qui ont
ravagé la Grèce, l’Espagne, le Portugal... Aujourd’hui,
tous sont en crise, massivement rejetés. Un rejet qui
n’a cessé de s’amplifier depuis le vote « Non » de 2005,
que tous les gouvernements successifs ont bafoué. Et
en même temps, je vois la situation en France, en
Europe : le rejet, la crise politique, ne suffisent pas à
les arrêter. Et je me dis que les travailleurs, la jeunesse
ont besoin de disposer d’une force pour ouvrir une
solution conforme à leurs intérêts. »
Sur toutes ces questions, et sur bien d’autres, la discussion
est nécessaire. Personne ne détient la « solution
miracle » aux problèmes posés par la situation. C’est
la libre discussion qui permet d’avancer. C’est le rôle
des comités de résistance et de reconquête.

Macron et le capital financier dont il est l’exécutant voudraient tirer un trait définitif
sur les conquêtes ouvrières de 1936, de 1945, sur les acquis de la démocratie.
Ils veulent tout reprendre ! Nous voulons tout garder !
En nous rassemblant massivement, syndicalistes, militants politiques, élus, travailleurs,
jeunes de toutes tendances, le 10 novembre à Paris, à l’Espace Charenton,
pour la défense des acquis de 1936 et de 1945, il s’agit de contribuer à regrouper la
large force dont les travailleurs ont besoin pour aider à organiser la résistance.

Je participe au rassemblement le 10 novembre à Paris appelé par le CNRR
NOM ……………………………………………… Prénom………………………………………………
Tel. …………………………………… email…………………………………………………………………………………
Soutien financier au rassemblement ……………………


Adresse aux maires, aux adjoints, aux conseillers municipaux

Cher(e) collègue,
La situation de nos communes, que nous connaissons tous, que le congrès des maires
de France a de nouveau éclairée, appelle une réaction collective des élus à la hauteur de
l’enjeu. Ce sont nos communes qui vont cesser d’exister. Avec elles, c’est un pilier de la
République, creuset de la démocratie, qui va disparaître.
Il n’y a aucune exagération dans cette affirmation. La preuve :
— Après avoir baissé de manière brutale et massive les dotations depuis 2014 afin de
contribuer au redressement des finances publiques, le gouvernement supprime maintenant
la taxe d’habitation, une des dernières sources de financement local des communes.
Les budgets de nos communes vont dépendre très majoritairement du financement de
l’État. De fait, la libre administration des communes n’est plus.
— Toujours au nom de la contribution au redressement des finances publiques, 13 milliards
d’euros seront versés à l’État par 319 grosses collectivités (régions, départements,
métropoles-agglomérations, grosses intercommunalités et grosses communes) sur leur
budget de fonctionnement.
— Ces collectivités devront s’engager par contrat à ne pas augmenter leurs dépenses
de fonctionnement de plus de 1,2 % afin de dégager de quoi payer ces 13 milliards. Ce qui
signifiera nécessairement baisser la masse salariale des agents !
— Les regroupements forcés de communes auxquels ont donné lieu la mise en place
des grandes intercommunalités, comme la création de grandes communes nouvelles dans
plusieurs départements, indiquent clairement la volonté gouvernementale de favoriser
les grands centres urbains ou ruraux.
— Une modification de la Constitution est envisagée pour autoriser de manière permanente
certaines dérogations aux normes. Le président envisage même que « l’augmentation
du point (d’indice), décidée pour les fonctions publiques hospitalière et d’État, ne soit pas automatiquement
applicable à toute la fonction publique territoriale » (extraits du discours du
président de la République au congrès des maires le 23 novembre) ! Si cela devait se produire,
c’est tout le tissu de nos services publics, adossés à la fonction publique territoriale, qui serait
menacé de délitement.
Ce n’est pas à une nouvelle, à une énième réforme que nous sommes confrontés, c’est
à la dislocation du cadre même de la République qui, jusqu’à présent, devait garantir à
tous les citoyens les mêmes droits sur tout le territoire et qui assurait à toutes les communes
la liberté de s’administrer dans le respect du mandat confié aux élus par la population.
Dans ce contexte, la commune deviendrait un simple rouage subsidiaire de l’État, un
organe de transmission des décisions gouvernementales et nos services publics s’étioleraient
ou disparaîtraient.
Nous, signataires de cet appel, maires, adjoints et conseillers municipaux de tout le
pays, nous adressons solennellement à nos collègues. Le moment est venu de nous rassembler,
par-delà les diversités d’opinions ou d’engagements, pour défendre la commune,
institution socle de la République.
Décembre 2017


Premiers signataires:

Daniel Jeannin, maire de Montenois (Doubs) ; Bruno
Lafon, maire de Biganos (Gironde), président de la
communauté de communes du bassin d’Arcachon-
Nord ; Didier Fouché, maire de Soulitré (Sarthe) ; Bruno
Guillaud-Bataille,maire de Charavines (Isère) ; Laurent
Cadou,maire de Carbay (Maine-et-Loire) ; Hugues
Vaulerin,maire de Saint-Jean-de-la-Croix (Maine-et-
Loire) ; Georges Cèbe,maire de Saint-Pons-de-Thomières
(Hérault) ; Philippe Dubourg, maire de
Carcarès-Sainte-Croix (Landes) ; Jean-Paul Labeyrie,
maire de Laruscade (Gironde) ; Frédéric Mortier,maire
de Longué-Jumelles (Maine-et-Loire) ; Anthony Chanaud,
maire de Fa (Aude) ; Guy Cassoly, maire de Los
Masos (Pyrénées-Orientales) ; Pierre Polard,maire de
Capestang (Hérault) ; Jean-Claude Rodriguez,maire
de Brissac (Hérault) ; Brigitte Gabirol, maire de Saint-
Barthélemy-de-Bellegarde (Dordogne) ; Gérard Martin,
maire de Varennes (Dordogne) ; Jacques Ranoux, maire
de Montrem (Dordogne); Patrick Gueysset, maire de
Grignols (Dordogne) ; Jean-Michel Sébastien, maire
de Saint-Jean-d’Ataux (Dordogne) ; Dominique Mazière,
maire de Douzillac (Dordogne) ; Daniel Champigny,
maire de Néons-sur-Creuse (Indre) ; Robert Azaïs,
maire de Saint-Julien (Hérault) ; Daniel Barbe,maire
de Blasimon (Gironde) ; Jean-Pierre Pastre,maire de
Féline-Minervois (Hérault) ; Dominique Hervo,maire
de Tournon-Saint Martin (Indre) ; Roger Pizot,maire
de Saint-Paul-lez-Durance (Bouches-du-Rhône) ; Jean
Christophe Eichenlaub,maire du Montcel (Savoie) ;
Azzédine Taïbi,maire de Stains (Seine-Saint-Denis) ;
Jean-François Trossero,maire des Côtes-de-Corps
(Isère) ; Jean-Louis Chezeaux,maire de Saint-Aigny
(Indre) ; Martial Drui,maire de Sauzelles (Indre) ; Marie-
Pierre Barani, maire de Châbons (Isère) ; Roger
Deranque,maire de Cucuron (Vaucluse) ; Fernand
Perez, maire de Cadenet (Vaucluse) ; Christian Mounier,
maire de Cheval-Blanc (Vaucluse), vice-président du
conseil départemental du Vaucluse ; Gérard Clément,
maire de Greez-sur-Roc (Sarthe) ; Roger Meï,maire de
Gardanne (Bouches-du-Rhône) ; Fernand Perez,maire
de Cadenet (Vaucluse) ; Claude Garnier,maire de Brée
(Mayenne) ; Jean-Claude Potié, maire d’Izeron (Isère) ;
Christine Araneo, maire de Saint-Martin-d’Estréaux
(Loire) ; Jean-Marc Blot,maire de Vibraye (Sarthe) ;
Roland Caillaud, maire de Pouligny-Saint-Pierre
(Indre) ; Bernard Barre,maire de Lingé ; Joel Deloche,
maire de Rosnay (Indre) ; Philippe Garnier,maire de
Meys (Rhône) ; Francine Marty,maire de Roquebrun
(Hérault) ; Grégory Courtas, maire de Pussay
(Essonne) ; Marie-Christine Lemonnier,maire de
Belin-Béliet (Gironde) ; Robert Villetorte, maire de
Geloux (Landes) ;Olivier Martin, conseiller municipal
de Gagnières, président de la communauté de communes
Cèze Cévennes (Gard) ; Monique Hutter-Huck,
4e adjointe au maire de Saint-Sébastien-d’Aigrefeuille
(Gard) ; Laurent Reverdy, 2e adjoint au maire du Pasquier
(Jura) ; Hubert Dupont, 1er adjoint au maire du
May-sur-Èvre (Maine-et-Loire) ; Claude Maillet-Wicart,
adjointe au maire de Simiane-La Rotonde (Alpes-de-
Haute-Provence) ; Christian Baqué, adjoint au maire
de Mombrier (Gironde) ; Joëlle Arnal, adjointe au
maire de La Seyne-sur-Mer (Var) ; Catherine Salvetti,
adjointe au maire de Chaleins (Ain) ; Laurent Girard,
adjoint au maire délégué de Chemillé-Melay (commune
de Chemillé-en-Anjou, Maine-et-Loire) ; Xavier Charles,
adjoint de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde (Dordogne)
; Josette Bloem, adjointe de Saint-Barthélemyde-
Bellegarde (Dordogne) ; Marie-Claude Courty,
adjointe de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde (Dordogne)
; Sandrine Peyrouny, adjointe de Saint-Léonsur-
l’Isle (Dordogne) ; Philippe Tonneaut, adjoint de
Fougueyrolles (Dordogne) ;Claude Ageron, conseiller
municipal de Saint-Didier-de-Bizonnes (Isère) ; Michael
Anders, conseiller municipal de Saint-Pons-de-Thomières
(Hérault), conseiller communautaire de la communauté
de communes « Du Minervois au Caroux en
Languedoc » ; Thierry Gicquel, conseiller municipal
de Treillères (Loire-Atlantique) ; Maurice Vial, conseiller
municipal de Rochetoirin (Isère) ; Daniel Crusberg,
conseiller municipal de Lacourt-Saint-Pierre (Tarn-et-
Garonne) ; Michel Renault, conseiller municipal de
Baugé-en-Anjou (Maine-et-Loire) ; Daniel Dalla-Barba,
conseiller municipal de La Salvetat-Saint-Gilles (Haute-
Garonne) ; Patrice Laporte, conseiller municipal de
Chalo-Saint-Mars (Essonne) ; Alain Pagano, conseiller
municipal d’Angers (Maine-et-Loire), responsable
adjoint de la commission écologie au conseil municipal
d’Angers ; Denis Mauget, conseiller municipal de Saint-
Loubès (Gironde) ; Pascal Gremez, conseiller municipal
de Pussay (Essonne) ; Henri Garcès, conseiller municipal
de Malves-en-Minervois (Aude) ; Gérard Quéval,
conseiller municipal de Saint-Léon-sur-l’Isle (Dordogne)
; Henry Gleyze, conseiller municipal de Lavans-
Vuillafans (Doubs) ; Koen Goovaerts, conseiller
municipal de Saint-Pons-de-Thomières (Hérault) ;
Richard Boyé, maire adjoint de Saint-Pons-de-Thomières
(Hérault) ; Catherine Vivancos,maire adjointe
de Saint-Pons-de-Thomières (Hérault), conseillère
communautaire « Du Minervois au Caroux en Languedoc
» ; Laurent Pellissier, conseiller municipal de Saint-
Pons-de-Thomières (Hérault) ; Claude Vivancos,
conseiller municipal de Saint-Pons-de-Thomières
(Hérault) ; Céline Piot, conseillère municipale de Montde-
Marsan (Landes) ; Max Chambon, conseiller municipal
de Vorey (Haute-Loire) ; David Chevallier,
conseiller municipal de Varennes-sur-Loire (Maineet-
Loire) ; Catherine Leloup-Cottin, conseillère municipale
de Chemillé-Melay, commune déléguée de
Chemillé-en-Anjou (Maine-et-Loire) ; Jean-Claude
Sancereau, conseiller municipal de Chalonnes-sur-
Loire (Maine-et-Loire) ; Cécile Berger, conseillère municipale
de La Salvetat-Saint-Gilles (Haute-Garonne) ;
Francine Desme, conseillère municipale de Brissac-
Loire-Aubance, commune déléguée de Saint-Rémyla-
Varenne (Maine-et-Loire) ; Sébastien Monnier,
conseiller municipal de Lézigné (Maine-et-Loire) ;
renault.mairie.clefs@gmail.com
Agnès Faugier, conseillère municipale de Saint-Romain-
Lachalm et conseillère communautaire (Haute-Loire) ;
Sylviane Stome, conseillère municipale de Gujan-
Mestras (Gironde) ; Jérémy Dupouy, conseiller municipal
de Gujan-Mestras (Gironde) ; Marie-Pierre
Rebufie, conseillère municipale de Saint-Loubès
(Gironde) ; Jean-Luc Feite, conseiller municipal de
Saint-Loubès (Gironde) ; Jean Maccoco, conseiller
municipal de Saint-Loubès (Gironde) ; Catherine
Brusq, conseillère municipale de Bédarieux (Hérault) ;
Colette Subirats, 1re adjointe au maire de Loupian
(Hérault) ; Dominique Thomas, conseillère de Coulounieix-
Chamiers (Dordogne) ; Isabelle Rouffineau,
conseillère de Coulounieix-Chamiers (Dordogne) ;
Dominique Attingré, conseillère de Coulounieix-
Chamiers (Dordogne) ; Martine Grellety, conseillère
de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde, (Dordogne) ;
Isabelle Brasseim, conseillère de Saint-Barthélemyde-
Bellegarde (Dordogne) ; Fabrice Verbote, conseiller
de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde (Dordogne) ;
Marc Besse, conseiller de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde
(Dordogne) ; Patrice Lathière, conseiller de
Saint-Barthélemy-de-Bellegarde (Dordogne) ; Philippe
Reynier, conseiller de Saint-Barthélemy-de-
Bellegarde (Dordogne) ; Jacques Renard, conseiller
de Cherveix-Cubas (Dordogne) ; Bernard Clément,
conseiller de Saint-Capraise-de-Lalinde (Dordogne) ;
Jean-Luc Sanchez, conseiller de Grignols (Dordogne) ;
Henri Rochas, conseiller de La Flachère (Isère) ;
Marie Lescoute, conseillère municipale de Sore
(Landes) ; Régis Nedelec, conseiller municipal de
Vauréal (Val-d’Oise); Hervé Techer, conseiller municipal
de Vauréal (Val-d’Oise) ; Sylvie Gisbert, adjointe
au maire de Capestang (Hérault) ; Annie Ducla,
adjointe au maire de Capestang (Hérault) ; Janine
Bouit-Mesnier, conseillère municipale de Mombrier
(Gironde) ; François Neuvy, adjoint au maire de
Néons-sur-Creuse (Indre) ; Roger Serrado, conseiller
municipal de Cruzy (Hérault) ; Jacques Peronnet,
conseiller municipal de Tournon-Saint-Martin (Indre) ;
Christian Bou, conseiller municipal de Rocheforten-
Yvelines (Yvelines) ; Sylvie Guinand, conseillère
municipale de Saint-Égrève (Isère) ; Serge Allié,maire
adjoint de Loupian (Hérault) ; Alain Lumeau, conseiller
municipal de La Salvetat-Saint-Gilles (Haute-
Garonne) ; Bruno Cailleteau, conseiller municipal
des Sorinières (Loire-Atlantique) ; Jean-Yves Rigaud,
adjoint au maire de Ville-sur-Jarnioux (Rhône) ; Rose-
Anne Lhermet, conseillère municipale de Montreuil
(Seine-Saint-Denis) ; Franck Boissier, conseiller
municipal de Montreuil (Seine-Saint-Denis) ; Michel
Floret, conseiller municipal de Beaumont-en-Diois
(Drôme) ; Fernand Lecoat, 1er adjoint au maire de
Champcueil (Essonne) ; Rossana Morain, maire
adjointe de Nanterre (Hauts-de-Seine) ; Francis Cortez,
adjoint au maire de Coulounieix-Chamiers (Dordogne)
; Louis Gillier, adjoint au maire de
Néons-sur-Creuse (Indre) ; Patrick Capot, adjoint
au maire de Coulounieix-Chamiers (Dordogne) ;
Maryse Polastro, adjointe au maire de Saint-Paullez-
Durance (Bouches-du-Rhône) ; André Gomez,
adjoint au maire de Saint-Paul-lez-Durance (Bouchesdu-
Rhône) ; Doris Gauthier, conseillère municipale
de Portets (Gironde) ; Jean-Louis Valente, conseiller
municipal de Rive-de-Gier (Loire) ; Dominique Gabasio,
adjointe au maire de Varambon (Ain) ; Michel
Bordenave, 1er adjoint au maire de Roquebrun
(Hérault) ; Gérard Lissonnet, adjoint au maire de
Saint-Aigny (Indre) ; Michel Tiennault, adjoint au
maire de Saint-Aigny (Indre) ; Richard Williams,
adjoint au maire de Rosnay (Indre); Raymond Jullien,
conseiller municipal de Saint-Aigny (Indre) ; Léon
Ricordel, conseiller municipal de Saint-Aigny (Indre) ;
Martine Dumiot, conseillère municipale de Saint-
Aigny (Indre) ; Jean Vidy, conseiller municipal de
Saint-Aigny (Indre) ; Jean-Gabriel Lainey, conseiller
municipal de Morigny-Champigny (Essonne) ;
Daniel Hautem, conseiller municipal de Chalo-
Saint-Mars (Essonne) ; Catherine Taurelle, conseillère
municipale d’Auneau-Bleury-Saint-Symphorien
(Eure-et-Loire) ; Lise Redoute, conseillère municipale
de Ronchaux (Doubs) ; Anne-Marie Martin,
conseillère municipale de Draveil (Essonne) ; Dominique
Martinez, conseillère municipale d’Aigrefeuille-
d’Aunis (Charente-Maritime) ; Pierre Vividila,
conseiller municipal de Champagne-sur-Seine (Seineet-
Marne) ; Jacqueline Doineau, conseillère municipale
de Baugé-en-Anjou (Maine-et-Loire) ; Fabrice
Fisson, conseiller municipal de Baugé-en-Anjou
(Maine-et-Loire).


Je m’associe à cette adresse
Nom, prénom :..................................................................................................................................................................
Précisez : maire/adjoint/conseiller : ..............................................................................................................................
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Signature à retourner à : Michel Renault, conseiller municipal de Baugé-en-Anjou 49150

mardi 15 mai 2018

Le POI condamne le massacre du peuple palestinien

Communiqué du secrétariat permanent du Parti ouvrier indépendant.

Le POI condamne
le massacre du peuple palestinien
organisé par le gouvernement israélien
avec le soutien de l’impérialisme

Deux mille quatre cents blessés, 55 morts, autant entre la vie et la mort, des hommes, des femmes, des
enfants, voilà le résultat provisoire du massacre organisé par l’armée israélienne ce lundi 14 mai 2018.
Répression farouche contre des manifestants venus exiger la levée du blocus, le droit au retour
dans leurs villes et leurs villages. Le gouvernement israélien s’appuyant sur ses alliés, les États-Unis
(mais aussi le gouvernement français) s’est senti libre d’organiser un massacre, ordonnant à l’armée
de gazer et de tirer sur une foule de familles palestiniennes venue manifester pacifiquement.
Soutien indéfectible au peuple palestinien, soutien aux manifestations immédiates qui ont eu
lieu en Galilée au soir du massacre, soutien à la manifestation organisée ce mardi 15 avril à Tel Aviv.
Soutien à l’appel à la grève générale dans les territoires palestiniens incluant les territoires de
1948 pour ce mardi 15 mai.
Indignation au moment où Donald Trump se félicitait ce 14 mai de l’inauguration de son ambassade
américaine à Jérusalem, au moment même où hommes, femmes et enfants et travailleurs palestiniens
étaient assassinés par l’armée israélienne.
Indignation face aux déclarations d’Emmanuel Macron, valet de Trump, qui ne voit dans ce massacre
que « des violences ».
Emmanuel Macron fait partie au premier « chef » de ceux qui ont engagé la France sous la tutelle
de Trump dans une politique de guerre au Moyen Orient qui a permit ce massacre perpétré par le
gouvernement israélien.
Depuis quarante ans, les « plans de paix » organisés par les institutions de l’impérialisme n’ont
conduit qu’au massacre du peuple palestinien.
Le Parti ouvrier indépendant condamne sans réserve cette tuerie et soutient le peuple palestinien
dans sa résistance, sa détermination pour la liberté, la souveraineté, la terre et le droit au retour.
Le secrétariat permanent du POI
Le 15 mai 2018, à 11 heures.